Chrétiens en Ubaye

Halloween soutient le lavage de cerveau et la magie cosmopolite

Le Ven 01 nov 2024 à 16:45

Dans 2024

Selon Wikipédia, Halloween est une fête folklorique originaire des îles anglo-celtes célébrée dans la nuit du 31 Octobre au 1er novembre. Son nom est une contraction de l’anglais All Hallows’Eve, qui signifie the eve of All Hallows’Day en anglais contemporain et peut se traduire par « la veille de tous les saints » ou « la veillée de la Toussaint ».

L’origine exacte d’Halloween remonte au temps ancien du monde celtique. La fête de Samhain célébrée au début de l’automne était une sorte de célébration qui avait pour croyance de communiquer avec les âmes et les morts. Les Celtes marquaient la fin de l’été et le début de l’hiver. Ce jour-là, les druides auraient sacrifié des humains pour faire honneur à leur dieu de la mort, Samhain. Aujourd’hui, à l’occasion de cette fête, on se déguise, on allume des citrouilles et on frappe aux portes pour récupérer des bonbons ou lancer des sorts. Les siècles ont transformé la fête des morts en soirée festive et ludique.

Au XIXe siècle, les immigrants irlandais et écossais ont introduit Halloween aux Etats-Unis. Ainsi, Halloween est devenue une partie incontournable de la culture américaine, puis européenne, notamment française. Une fête centrée sur les enfants, les costumes, les bonbons, et la décoration, bien loin des racines véritables.

Le potentiel commercial d’Halloween n’a pas été ignoré. Les entreprises ont saisi l’occasion de vendre des costumes et des bonbons. Cette commercialisation met l’accent sur le plaisir, la créativité et les festivités.

Mais derrière cette fête commerciale, se cache une volonté d’imposer une culture anti – chrétienne par des moyens détournés.

Le rituel Halloween est rétabli dans le fatras des cultes païens pré – chrétiens. Il récupère les peurs ancestrales qui entouraient le mystère de l’hiver, la mort apparente de la Nature. La mode, importée des Etats-Unis, vise à faire de l’argent. Mais surtout, elle ambitionne de remplacer la Toussaint et le Jour des Morts par une « fête magique ». Car la célébration des saints et le souvenir de nos morts pourraient maintenir les enfants dans leurs racines chrétiennes et nationales. Et ça, il faut le supprimer.

Halloween reprend la technique des sorciers primitifs : susciter des peurs ancestrales pour les récupérer, les canaliser, et les domestiquer, en proposant des rituels magiques comme seule protection. Derrière les citrouilles et les rires apeurés, se cache le maître d’œuvre de la fête anti – chrétienne, le Diable. Ainsi, les enfants s’habituent à lui. Ce monstre à grimaces ne les effraie pas, puisqu’ils le voient tous les jours à la télévision, chanteurs, présentateurs, sportifs, au visage masqué par l’affreuse petite barbichette à la mode, puisqu’ils le voient dans des lieux éducatifs, à l’école, dans les locaux de la FNAC, où j’ai été le témoin d’une fête des sorcières, et jusque dans les rues des villes, comme à Toulouse. Sans oublier les cérémonies d’ouverture et de fermeture des Jeux Olympiques à Paris. Halloween relève donc de la magie.

Mais Halloween n’est pas un jeu d’enfants. Le christianisme est la seule religion anti-magique. Or, dans les médias aux ordres des mondialistes, la magie tient le premier rôle. Ce n’est pas un hasard, ce n’est pas une coïncidence. Toutes les modes culturelles, complétées par une déculturation générale, concourent à un lavage des cerveaux, à la destruction du christianisme. Les initiés continuent la guerre anti – chrétienne des premiers siècles.

La magie est une forme primitive du religieux. Les sociétés paysannes primitives, les premiers humains, divinisaient la nature, et expliquaient l’inexplicable par la magie. La magie est aussi à la source du pouvoir des initiés dans la société. Les mages se transmettaient leurs secrets, et pratiquaient des sacrifices pour atténuer l’angoisse des hommes face aux mystères de la nature.

Qui détenait la connaissance des mystères, la gnose, possédait une part de pouvoir social. Toutes les civilisations de l’Antiquité ont perpétué les pratiques magiques, sans exception.

Dans toutes les sociétés primitives, fleurissent des pratiques de sorcellerie, de magie. Le sorcier qui perce des figurines dans le but de tuer à distance ses ennemis, le sorcier qui asperge les champs de quelques gouttes d’eau rituelle pour faire pleuvoir, nous offrent des exemples typiques de magie. Le magicien agit sur la nature par des moyens psychologiques. Il tente d’intimider les vents et les pluies par ses incantations. Le monde est constitué par des forces que l’on peut séduire et dompter, diriger par des paroles. Le monde est plein d’âmes et la magie est la stratégie de l’animisme.

Avant le christianisme, les initiés de tous les cultes primitifs visaient la gnose, la connaissance, par des pratiques d’occultisme. Dieu incarné et porteur de Vérité a mis fin à la magie des initiés.

Que l’on soit chrétien ou non, on ne peut que constater que le Christ est porteur d’une véritable révolution religieuse. Les rois mages, suivant l’Etoile, viennent adorer le Fils de Dieu. C’est insupportable aux initiés des anciennes religions. Ils se mobilisent contre le christianisme, religion qui met fin aux superstitions, et donc au pouvoir politique des initiés. Dès le premier siècle, la guerre est engagée contre la tradition chrétienne. Les ennemis du christianisme scellent leur alliance dans un mouvement ésotérique anti-chrétien, le gnosticisme.

La dimension magique du gnosticisme est apportée par Simon le Magicien, un samaritain. Simon le Magicien est aussi appelé « Faustus », le favori de Diable. Il fonde la fraternité du Serpent, une des premières sectes qui combattent les communautés chrétiennes. Elle inspirera toutes les textes d’Illuminati des siècles à venir.

Pendant des siècles, l’Eglise a combattu les mages et leurs servantes, les sorcières qui se réunissaient en « sabbat » où le diable était censé apparaître. On appelait sabbat les assemblées que les sorciers et sorcières tenaient la nuit, sous l’autorité du Diable, pour célébrer les rites satanistes, et se livrer entre eux à tous les emportements de leurs passions obscures et déviantes. Parmi ces passions, la pédocriminalité, qu’on n’appelait pas encore ainsi.

De tout jeunes enfants étaient offerts à Satan pour célébrer les rites criminels qu’il affectionne. Les enfants morts étaient ensuite exhibés sur une perche. Aujourd’hui, les déviances sont normalisées. Et la critique de ces déviances est interdite. Le mot « déviance » lui-même est tabou. Et que deviennent les milliers d’enfants qui disparaissent chaque année ?

Des missionnaires ont dénoncé les pratiques diaboliques, les rituels archaïques et irrationnels, souvent accompagnés d’actes barbares, en France et dans le monde entier. Chaque fois que la foi a reculé, la sorcellerie a renoué avec les sacrifices humains.

Le XVIe siècle est le siècle des mages, et aussi des sorcières. La faute en incombe à Erasme, et surtout à Luther. Selon Léon Christiani, historien (1879-1971), Luther « avait horreur des sorcières et se déclarait prêt à les brûler de sa propre main ». Mais il affiche ses thèses un 31 Octobre, la date d’Halloween, fête des sorcières et aussi du Diable, fête des ennemis des saints. Le 31 Octobre est la veille de la Toussaint, hommage rendu à tous les saints, dont Erasme s’est moqué avant Luther.

Ainsi, Luther substitue un culte des sorcières au culte des saints. L’anti – catholicisme provoque le déchaînement de l’irrationnel par la pratique des sciences occultes. Le recul de la religion catholique marque toujours un recul du rationnel. On l’observe depuis le début de l’ère chrétienne, de la gnose à la Renaissance et à la Réforme, et plus que jamais en nos temps modernes et post – modernes, qui régressent au primitif.

Au XVIe siècle, les croyances et les pratiques magiques brillent. Les rituels de sorcellerie, les assassinats rituels de prêtres et les sacrifices d’enfants se multiplient. Les historiens recensent même des actes de cannibalisme. Dans l’Antiquité, les Dionysiaques « communiaient » ainsi. En France, le cannibalisme pratiqué le long de la Loire est le fait des huguenots. C’était déjà le progrès.

Le sacrifice humain accompagne la sorcellerie, ce qui réjouit le Diable auquel la magie noire est dédiée. Les sorcières exercent la magie noire, adorent Satan, et prétendent utiliser les démons pour leurs envoûtements, elles pratiquent un véritable culte du Diable. Et la figure du Diable est omniprésente lors de la fête d’Halloween.

Selon Marion Sigaut : « Contrairement à ce qu’affirme une légende tenace, complaisamment relayée partout, la grande chasse aux sorcières a commencé sous la Renaissance et s’est achevée au Grand Siècle. Elle fut l’œuvre de juridictions subalternes laïques … Mise en cause indûment, l’inquisition est devenue synonyme de « tribunal poursuivant les sorcières à l’aide de la torture » et les gens continuent de le croire … La grande chasse aux sorcières fut la conséquence de la perte du sentiment religieux. Et non pas son excès. »

Le culte du Diable n’est pas païen, les païens n’ont jamais vénéré un Diable dont ils ignoraient l’existence. Ce culte diabolique arrive d’Orient. Il a été véhiculé par des sectes anti – occidentales, et désormais par une grande Secte, la Franc-Maçonnerie. L’Inquisition condamne la sorcellerie. Alors l’histoire officielle accuse l’Inquisition d’un massacre de sorcières. C’est faux. Depuis la Révolution, le catholicisme est éradiqué par la Franc-Maçonnerie, synagogue de Satan.

Les traditionalistes catholiques sont peints comme des extrémistes dans les médias maçonniques. Ce n’est pas un hasard, c’est une volonté féroce de rabaisser et d’éliminer les catholiques. Le prétendu « progrès » s’accompagne d’un retour de la magie. Dans le chaos moderne soumis par les forces occultes, la magie anti – chrétienne est omniprésente. Les enseignants ont imposé la gnose naturaliste des Francs-Maçons à l’école. Les enfants sont conviés à célébrer Halloween.

La fête d’Halloween, très appréciée des enfants, s’est imposée au sein de la société. Les commerces la voient comme une aubaine financière, à grands renforts de publicité outrancière et de décorations tapageuses. Les enfants se déguisent avec des costumes qui font peur et des maquillages terrifiants. Pour beaucoup, Halloween est une cérémonie folklorique où les enfants se déguisent. C’est un moment de détente, de jeu. Le côté actif et visuel plaît. Mais sous un air bon enfant, cette cérémonie présente bien des dangers.

La symbolique de la fête d’Halloween célèbre les puissances spirituelles obscures, les influences sataniques. Elle donne l’idée qu’il est possible de faire appel aux forces démoniaques.

Cette célébration de la mort est parfois devenue la célébration du Diable. Aujourd’hui, dans le monde entier, c’est la cérémonie la plus importante pour les satanistes.

Fêtée le 31 Octobre, veille de la Toussaint, elle fait perdre le sens catholique de la célébration de la Toussaint. De plus, les enfants banalisent le monde occulte, sont initiés au monde des ténèbres. Les défunts et les fantômes viennent avec les démons nous menacer de la mort.

La nuit du 31 octobre, aux Etats-Unis, en Irlande, en France, et ailleurs, se réalisent des messes noires avec sacrifices humains et même des bébés. Le 31 octobre est la date la plus importante du calendrier satanique. La nuit d’Halloween est reconnue par tous les satanistes adeptes de l’occulte et du Diable, la nuit de leur Nouvel An. Halloween a des liens évidents avec le satanisme dont les rituels de sacrifice ont lieu en secret depuis des millénaires.

Anton Szandor LaVey, fondateur et prêtre de la Satans Kirche aux Etats-Unis (1930-1997), affirme : « Le 31 octobre, veille de la Toussaint, est considéré comme l’une des fêtes les plus importantes dans le satanisme. »

Jack Roper, chercheur en occultisme (1904-1966) confirme : « Le moment de l’année où ont lieu le plus grand nombre de crimes rituels satanistes et occultes, c’est Halloween ».

John Ramirez, ex-sataniste avertit : « Je souhaiterais pouvoir dire que tout ça, ce n’était qu’une plaisanterie inoffensive. Qu’il n’y a rien derrière les fantômes, les démons et le diable. Mais je ne peux pas. J’ai eu des expériences avec des forces obscures contre lesquelles je dois mettre en garde. C’est pour ça que je ne peux pas faire comme si Halloween était une fête inoffensive qui donne le frisson. Beaucoup de gens ne croient pas que le diable existe vraiment. Mais malheureusement, j’ai eu d’autres expériences. Satan est réel et son pouvoir est destructeur. Parmi les satanistes et dans les cercles de sorciers, Halloween est toujours la fête suprême, une célébration de l’effroi et de la mort. C’est une triste réalité que la plupart des disparitions d’enfants ont lieu à cette période de l’année … Et pourtant, tout le monde prétend qu’Halloween est une fête de déguisement inoffensive et amusante. Le diable aime Halloween, je le savais très bien. Car ce jour-là, les gens se tournent naïvement vers lui sans réfléchir. Mais on ne peut pas jouer avec les puissances obscures. Croyez-moi en tant que prêtre vaudou, Halloween était un point culminant spirituel et j’y participais. »

La mode d’Halloween n’est pas seulement une mode de notre société événementielle, une occasion de faire des affaires, mais aussi une journée où des cruautés réelles sont pratiquées.

Dorine Herving, qui fut la plus grande sorcière de l’Europe occidentale, concubine du haut ministre de Satan, disait : « Si les parents avaient la moindre idée de ce qu’est réellement Halloween, ils ne mentionneraient même pas ce mot devant leurs enfants. »

Le 31 octobre aux Etats-Unis est le jour où disparaissent le plus grand nombre d’enfants. On rapporte de nombreux crimes commis par des personnes sans scrupules qui dissimulent des lames aiguisées, font cadeau de caramels empoisonnés ou utilisent des seringues servant à l’injection de la drogue.

Les enfants se promènent dans les rues, sans méfiance, déguisés en démons, en imitant des esprits méchants. Ils réclament des bonbons de maison en maison en disant : des bonbons ou un mauvais sort. Cela paraît inoffensif et amusant. Mais on les associe à un sombre rituel, à l’invasion de l’occulte dans la culture. Les jeunes font leurs premières expériences avec les pratiques occultes, peuvent entrer en communication avec des esprits. Avec ces fêtes sanguinaires, des adultes s’approchent candidement des puissances obscures. Mais en même temps, à d’autres endroits, des crimes rituels occultes et sataniques sont commis dans des réseaux d’élites occultes. De nombreux témoignages de victimes et de personnes ayant fréquenté ces cercles, comme le banquier hollandais Ronald Bernard, confirment la pratique de la violence rituelle, de la torture humaine, des meurtres d’enfants, et du cannibalisme.

Le 31 octobre est devenu un prologue pour nous amener à accepter l’occulte. Halloween est devenu le jour du Diable, rituellement reconnu par quelques adora leurs de Satan, et quelques groupes occultes.

Le choix du 31 octobre n’est pas une coïncidence. C’est l’un des plus importants sabbats des sorcières, les quatre jours du calendrier celtique, le 2 février, jour de la marmotte, un jour férié de mai, le temps des plantations pour les sorcières, un jour d’août, un festival des récoltes en l’honneur du dieu Soleil, le 31 octobre, arrivée de l’hiver.

Aujourd’hui, Halloween est une période faste pour les commerçants. Des personnes habituellement décentes deviennent des exhibitionnistes et commettent nombre de scandales.

60% de tous les costumes pour Halloween sont vendus à des adultes.

Le symbolisme d’Halloween inclut des démons, des fantômes et des sorcières, la mort, l’obscurité des squelettes, la crainte et la terreur.

A chacun de croire qu’Halloween est complètement inoffensif ou pas.

Jean Saunier